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Saint-Louis patron des barbiers
Le barbier dans la société était important.C'était un peu le médecin du pauvre.Le barbier incise les abcès il rase et coupe avec le même outil.
-En 1292 naissance de la corporation des "Barbiers-Perruquiers-Baigneurs-Etuvistes" enregistrement au registre du commerce.
-en 1371 le barbier ne doit plus opérer mais cela n'est pas respecté.La sélection se fait par la fortune
-Le mot coiffeur voit le jour en 1650.
-Le métier de barbier et de chirurgien commence à se scinder en deux vers 1673.
-En 1691 un édit royal sépare chirurgiens et barbiers-perruquiers.
-Le métier de coiffeur est apparu vers le 17éme siècle.
-Fin des corporations en juin 1791.
-La première fédération nationale des coiffeurs de France a vu le jour en 1889 et la fédération ouvrière CGT en 1904.
-En 2004 début de ma collection.
-Et fin 2o13 création de mon blog.
Pourquoi cette collection ?
J’ai toujours plus ou moins aimé collectionner grâce aux brocantes que j’ai parcourues jusque dans les années 1980.
J’ai fait une pose pour élever mes enfants, et en 2003 j’ai repris le chemin des brocantes avec mon épouse. En avril 2004 à la vue d’une tondeuse, la nostalgie de mon papa (qui a été apprenti coiffeur dans les années 1930), a réveillé en moi des souvenirs (le bruit du ciseau et de la tondeuse) bruit qui ne m’avait jamais quitté.
Au départ, aidé par les dons de quatre coiffeurs, ma passion prend forme et cela fait dix ans qu’elle ne me quitte plus.
J’étais complètement néophyte dans ce domaine et je veux vous faire découvrir différemment l’évolution du métier de coiffeur et de barbier comme moi je l’ai découvert à travers tous les objets et les recherches effectuées.
Ce sont les objets que je découvre qui sont le moteur de ma passion. Au fil de l’élaboration de mon blog, vous découvrirez ces deux métiers dont l’un a vu le jour en 1292 et l’autre vers le 17ème siècle.
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Article paru le 12 février 2019 sur l'Est Républicain pour l'exposition de Vandœuvre

Article paru suite à l'exposition au salon des collectionneurs à Gentilly
le 17/18 Février 2018

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Extrait de Radio France Bleu Lorraine
Suite à mon exposition le 13/14 février 2016 au salon des collectionneurs de Gentilly
Histoire de collection
J'ai
commencé en achetant une encyclopédie sur la coiffure, de là j'ai chiné
en brocantes et sur Internet, je suis allé voir des coiffeurs et je me
suis intéressé à l'histoire. Ma passion c'est aussi de montrer aux gens
comment travaillaient les coiffeurs avant... "
Philippe
peut passer des heures à parler de ses tondeuses mécaniques, des fers à
friser de toutes les époques, des techniques de coiffure et de leur
évolution dans le temps. Didier est aussi collectionneur, de temps en
temps il vient apporter des objets de coiffure à Philippe. Etre
collectionneur c'est tout un art de vivre basé sur la solidarité et
l'entraide selon Didier. Mais pour lui, c’est aussi participer à la
conservation de notre patrimoine historique.
C'est
bien de garder quelque chose qui existe. Les plus jeunes se demandent
pourquoi on garde tous ces machins inutiles, mais c'est avec le passé
qu'on arrive au présent et qu'on va vers l'avenir. Finalement ils sont
contents de retrouver dans le grenier d'un grand-père des objets du
passé."
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Article publié dans l'Est républicain du 25 novembre 2015 à la MJC Bazin
Pour Philippe Poirel qui travaille dans l’imprimerie, l’idée de collectionner les fers à friser lui est venue après le décès de son père, apprenti coiffeur dans les années 30 mais qui a finalement travaillé à l’usine, parce que c’était mieux payé. « C’était lui qui nous coupait les cheveux. » Philippe Poirel collectionne tout le matériel de coiffure, de la tondeuse, en passant par les fers à papillotes. Il y a l’Ondul vit’ dont la réclame assure qu’il ondule bien, les fers Marcel inventés en 1872. Le collectionneur est fier de son « Superondul » à brancher sur le plafonnier de la cuisine. La publicité de l’époque recommandait « de faire des shampoings au moins une fois tous les mois car les cheveux seront plus beaux, plus abondants et l’ondulation plus durable. » Le collectionneur tient même un blog où il raconte l’histoire du coiffeur barbier.
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Article paru dans le
républicain lorrain le 25/08/2013
Passion Coiffeurs et barbiers
Ces métiers au poil avaient, jadis, de multiples
facettes. Grâce à sa collection d’objets, Philippe les explore et retrace leurs
histoires. par Martine CONGE
La collection rassemblée par
Philippe comporte, entre autres, plusieurs générations de tondeuses. Photo D.
R.
Son père,
qui avait fait un apprentissage de coiffure, maniait assez bien les ciseaux
pour s’occuper lui-même des cheveux de sa progéniture. Au départ, quand
Philippe s’est mis en quête d’objets de l’art capillaire, ce n’était pour lui
que la recherche d’un temps perdu. Désormais, c’est sa passion. Il s’intéresse
moins aux techniques de la coiffure qu’aux moyens mis en œuvre à une époque où
l’eau courante n’existait pas.
Sa
collection n’a qu’une dizaine d’années, mais il est assez fier d’avoir pu
réunir un certain nombre d’objets intéressants. Tout commence lorsqu’un
coiffeur qui part en retraite lui cède un ancien stock. Pour Philippe, c’est le
début de recherches qu’il entreprend dans les encyclopédies ou les catalogues
de professionnels. Il s’agit non seulement de dater les accessoires, mais aussi
d’en comprendre l’usage.
Les peignes,
les bigoudis, les sèche-cheveux, les rasoirs, les tondeuses n’ont ainsi presque
plus de secrets pour lui. Il participe à des expositions. « Quand des gens
s’arrêtent devant tel ou tel objet, je peux leur donner un âge. Car ils sont
forcément interpellés par ceux qui ont pu être utilisés dans leur temps », se
réjouit le collectionneur, qui aime échanger avec ses visiteurs et les
renseigner. Dans ce but, il omet volontairement d’étiqueter certains
accessoires pour avoir le plaisir de raconter leurs histoires.
Le plus
vieil outil qu’il a pu dénicher est un fer à papillotes qu’il date de 1600. Il
possède aussi des épingles à onduler, quelques fers à friser de professionnels
qui fonctionnent à l’électricité et au gaz. Il présente des chaufferettes de
voyage à alcool, qui permettaient aux dames de se faire friser dans le train
pour arriver bien apprêtées à destination. D’anciennes gourdes à shampooings
côtoient lotions et talcs divers. « Deux litres d’eau suffisaient pour faire un
shampooing en 1900 » , précise-t-il.
Sa
collection est loin d’être finie et à ce jour, il cherche vainement un brûleur
qui aseptisait autrefois le matériel.
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Bonjour. Je viens d acheter 2 shampooings individuels Volpi mais je ne trouve pas d info. Connaissez vous ces produits? Merci
RépondreSupprimerBonjours je collectionne les peignoirs de coiffure en nylon avec cordon. Avez-vous des conseils pour améliorer ma collection. Merci d avance
RépondreSupprimerBonjours je possède une trentaine de peignoirs de coiffure mais je recherche surtout avec cordons et anciens surtout atypique. Pouvez vous m aider car s est juste pour mon plaisir
RépondreSupprimerbonjour j'en possède qu'un seul qu'un fils de coiffeur m'a offertet je ne peux vous aidez dans votre quette car un seul objet me suffit donc je n'en cherche plu il faut chercher dans les broc specizalisé dans les vieux tissus philippe P
RépondreSupprimerBonjour, je suis séverine et coiffeuse.
RépondreSupprimerJ'ai une Cliente qui à des vieux objets de barbier. Cela vous intéresse ?